mercredi 1 octobre 2008

Tradition Islamique: Les Miracles de la devise de l'Unicité

Par l’Ingénieur Abd Adaaim Alkahil

Le prophète Mohammed - que la paix et les bénédictions de DIEU soient avec lui- nous a apprit que l’expression « LA ILAHA ILLA ALLAH » [Il y a point de divinité que dieu] fut la plus noble des expressions prononcée par tous les prophètes ». C’est ainsi que celui dont les dernières paroles dans la vie furent LA ILAHA ILLA ALLAH rentrera au paradis !

LA ILAHA ILLA ALLAH est l’expression de la croyance de l’Unicité de DIEU [ATAWHID] et la base sur laquelle se fonde la foi.

DIEU -le Très Haut- a architecturé et a structuré cette expression ( LA ILAHA ILLA ALLAH) de manière à ce qu’elle reflète son Unicité [WAHDANIA] et à ce qu’elle montre qu’il n’y a point autre créateur des sept cieux que Lui.

Cette expression est composée de trois lettres de l’alphabet arabe qui sont : « Alif » « Lam » et « Háa ». A ce niveau, éclate un profond miracle linguistique : « Comment peut-on concevoir une expression qui porte autant de significations uniquement par l’usage de trois lettres ? ».

Nombreux ceux qui ne sont pas convaincus et n’arrivent pas à assimiler le merveilleux miracle linguistique de cette expression, c’est pour ceci que DIEU - Le tout Puissant - lui a incorporé des miracles numériques pour qu’ils soient des arguments d’autorités de l’authenticité de Ses paroles.

DIEU -Louage à lui- a sélectionné trois lettres de l’alphabet arabe (« Alif » « Lam » « Háa ») pour se donner le nom d’ « ALLAH ». De ce même nom [ALLAH] dérive la plus valeureuse des expressions : « LA ILAHA ILLA ALLAH » qui signifie soigneusement son Unicité.

Dans ce contexte, la structuration des lettres de cette expression suivant un surprenant système de répétition, montre la puissance et l’immense Savoir de notre Créateur.

C’est à ce stade qu’on pourrait se demander : « est-ce qu’une personne serait capable, tout en utilisant un système numérique miraculeux, de composer à partir des lettres de son nom une expression qui pourrait refléter sa personne?

Evidemment, c’est une tâche que seul le Tout Puissant DIEU pourra effectuer.

Méditez donc les paroles du prophète -que la paix et les bénédictions de DIEU soient avec lui- lorsqu’il nous apprend que la première expression que prononce le croyant lorsque la foi réside son cœur est « LA ILAHA ILLA ALLAH » et qu’il rentrera au paradis s’il en fait la dernière de ses paroles dans la vie !

Nous allons, dans ce qui suit, discerner les concordances méticuleuses et stupéfiantes qui existent entre les lettres de cette expression et qui se basent sur la distribution numérique afin de préserver l’enchaînement des mots. Se sont ces concordances qui justifient sa véridicité et la pertinence de ses significations.

La concordance etonnante avec le numero 19

Transcrivons l’expression [ LA ILAHA ILA ALLAH] pour discerner la fabuleuse construction numérique de ses lettres, et ce en mettant sous chacun de ses mots le nombre de ses lettres :

لا إله إلا الله



4 3 3 2

L’hypothèse de base des nouvelles investigations et recherches numériques se fonde sur le principe de la lecture des nombres tel qu’ils sont sans les additionnés ou les modifiés. De ce fait, le nombre qui représente l’expression [ LA ILAHA ILA ALLAH] est [4 3 3 2] quatre milles trois cents et trente deux. Ce nombre se trouve deux fois parmi les multiples du nombre 19 :

12 * 19 * 19 = 4332

C’est, donc, le résultat de la multiplication des nombres 12 * 19 * 19, qui sont des multiples du numéro 7 dans toutes les directions et autant de fois qu’on les multiplie.

La concordance étonnante avec le nombre 7

2.

Le nombre 121919 est un multiple du nombre 7 dans les deux directions (en distribuant le numéro de droite à gauche ou de gauche à droite). En effet :

17417 * 7 = 121919 131303 * 7 = 919121
3.

Le nombre 191219 est parmi les multiples de 7 dans les deux directions. En effet : 27317 * 7 = 191219 130313 * 7 = 912191
4.

En fin, le nombre 191912 se trouve aussi parmi les multiples de 7 dans les deux directions. En effet :



27416 * 7 = 191912

31313 * 7 = 219191

La concordance étonnante avec le nombre des jours de l’annee, du mois et de la semaine
La ilaha ila allah, qui a comme origine le nom de DIEU « ALLAH » - Louage à lui -, reprend la lettre arabe « Alif » 5 fois, la lettre « Lam » 5 fois et la lettre « Háa » 2 fois. Nous allons voir, par la suite, que la répétition de ces lettres présente une harmonie surprenante avec le nom d’ALLAH.

Transcrivons le vénérable nom « ALLAH », en mettant sous chacune de ses lettres le nombre de fois répété dans l’expression LA ILAHA ILA ALLAH :

الـــــــــــــلـــــــــــــه

5 5 5 2

Le nombre 2555 est un multiple de 7 :

365 * 7 = 2555

Ces résultats numériques, contiennent le nombre 365 qui est le nombre des jours de l’année ! Le nombre 19 constitue la relation qui existe entre l’année solaire et l’année lunaire et le nombre 12 se réfère aux mois de l’année. Lorsqu’on distribue ces chiffres pour constituer le nombre 1219365 on trouve que celui ci est parmi les multiples de 7 trois fois :

1219365 = 3555 * 7 * 7 * 7

1219365 est le multiple de 7 qui constituent le nombre des jours de la semaine.

C’est ainsi que LA ILAHA ILA ALLAH, qui découle du nom d’ALLAH nous présente sereinement une parfaite harmonie avec le nombre des jours de la semaine 7, le nombre des mois de l’année 12 et le nombre des jours de l’année 365. Ceci pour dire que « LA ILAHA ILA ALLAH » est l’expression de A-Tawhid (Unicité de DIEU) dans tous les temps !

L’HARMONIE ENTRE LE PREMIER ET LE DERNIER MOT

Le premier mot de l’expression est « LA (1) » [ signifiant : il n’y a ] dont le nombre de lettre est 2. Le dernier mot est « ALLAH » qui est constitué par 4 lettres.

(1) : (لا)

(2) : (الله)

Si on réunit ces deux nombres on aura le nombre 42 qui est, aussi, parmi les multiples de 7 :

7 * 6 = 42

Méditant à ce niveau que DIEU a crée les 7 cieux en 6 jours. Ceci confirme que DIEU a soigneusement architecturé cette expression (d’Unicité) tout en faisant du nombre 7 un argument qui témoigne de Son Unicité.

L’ENCHAINEMENT DES LETTRES

DIEU – Le Très Puissant- a choisit pour cette expression le nombre 12 comme nombre de lettres, et ceci est complètement en harmonie avec le nombre 7. En effet si on numérote les lettres de l’expression de 1 à 12 on sera en présence d’un grand chiffre des multiples de 7 :

ل ا إ لـ ه إ لـ ا ا لـ لـ ه

12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1

Numériquement on aura :

17301569664903 * 7 = 1211 10987654321
La sommation cumulée des lettres

De même, quand on somme de manière cumulative les nombres respectifs des lettres de LA ILAHA ILA ALLAH, on trouve un nombre multiple de 7. En effet :

لا إله إلا الله

12 8 5 2

1836 * 7 =12852

Ceci confirme, une fois de plus, que les lettres de l’expression sont intimement et harmoniquement interreliées entre elles. Méditez que toutes ces concordances numériques existent dans une seule expression qui est composée, seulement, de quatre mots! C’est une seule expression du Saint Coran, alors que si nous analysons tous ses mots et ses expressions nous nous trouverons, sans aucun doute, avec une infinité de miracles.

C’est ainsi que le prophète – que la paie et les bénédictions de DIEU soient avec lui - avait raison lorsqu’il a dit « ses miracles [le Coran] ne finiront jamais ». Alors étudions le Coran afin d’assimiler ses grandioses miracles.

Pour conclure, il est primordial de préciser que les miracles du système numérique du Coran constituent le dispositif matériel et scientifique qu’a mis en œuvre la puissance Divine pour le protéger de toute modification ou déviation. En effet, comme on a amplement analysé, tout changement ou modification dans l’expression de l’Unicité de LA ILAHA ILA ALLAH perturbera, sans doute aucun, toute son architecture numérique miraculeuse et son harmonie spectaculaire. Alors Louage à lui qui protége son Saint Livre (Coran) de toute modification :

Allah – le Très Haut- dit dans le saint Coran :

« C’est Nous qui t’avons révélé le Rappel édifiant et Nous veillerons certes à son intégrité ».

L’ingénieur Abd Adaiam Al Kahil

Chercheur en les Miracles du Coran et la Sanaa

newmiracle7@hotmail.com

samedi 27 septembre 2008

"Traite des blanches" en Israel

On a tendance a parler de la maltraitance des femmes en Islam, mais chez les juifs (et dans le monde occidental en général) elle ne l'est pas moins, voir plus.

Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission

J'ai trouvé ce texte sur un site Traditionaliste Chrétien, dont les principes sont fondamentalement saints! le nom du site est: Restauration de la Famille par l’Autorité . Ce texte pose les jalons d'une redéfinition du sens authentique de la famille.


vendredi 26 septembre 2008
Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)…
Propos préliminaires.
En ce qui regarde la répartition des sujets par chapitres.

Pour l’Homme, nous avions divisé le titre en deux :

*

Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)…

*

Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…

Ce titre suivant sera aussi scindé en deux :

*

Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)…

*

Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)…

Réitération d’un certain avertissement.

Comme nous le disions au début de cette étude, et en plusieurs points de celle-ci1 : La notice d’utilisation n’est pas destiné à la machine, mais au propriétaire de la dite machine, n’est-ce pas ! Pour cette étude, idem…

Ce chapitre envisage la femme, l’épouse qui est le cœur de son Époux, ainsi lorsque nous parlions de l’Homme nous ne pouvions pas ne pas parler de la femme, ainsi aussi, lorsque nous palerons de la femme ne ne pourrons encore moins ne pas parler de l’Homme pour qui elle fut ‘faite’, engendrée !

Lorsque Saint Paul dit, que les femmes soient soumises à leur mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme2. Il s’agit bien de l’épouse, mais cela est dit à l’Époux !
La femme, son insoumission, origine de tous nos maux…

Nous rappelons3 que pour respecter la chronologie des événements, nous disons ‘femme’ s’il s’agit d’elle avant qu’elle ne suive Adam chassé par Dieu de l’Éden ; après, nous l’appelons Ève.
Les démons n’attaquent que les femmes affranchies de l’Homme !

Car le démon attaque bien davantage les hommes lorsqu’il les voit seuls et séparés de tous les autres. Ce fut ainsi qu’il attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam. Quand il nous voit unis avec d’autres, il n’a pas la même hardiesse. Et c’est pour cette raison que nous devons nous trouver le plus souvent que nous pouvons dans la compagnie des gens de bien, afin de n’être pas si exposés aux attaques de notre ennemi.

Sermon saint Jean Chrysostome, homélie XIII., «Œuvres complètes – 881 - Saint Jean Chrysostome», réf. page 333.

‘Ils’ veulent qu’elle soit séparée physiquement, intellectuellement ou moralement de l’Homme ; qu’elle soit affranchie comme ils disent ! ‘Ils’ veulent la ‘libérer’ de la tutelle de l’Homme à qui elle fut donnée par Dieu, afin de pouvoir la damner, et qu’ensuite elle entraîne elles-même tout le foyer dans sa fuite suicidaire !

C’est pour cela uniquement que les suppôts de Satan veulent libérer la femme, pour qu’elle s’écarte de l’Homme afin de pouvoir la troubler avec leurs pipeaux maléfiques4. Et l’ayant ainsi troublé5, emmener cette petite cervelle à trahir les siens, et en premier son Époux ; et ainsi l’amener à ruiner son foyer, sa Maison, car une femme insensée la [sa Maison] renverse de ses propres mains6.

Que se dit-il de différent dans les loges, courroies de transmission serviles de nos ‘Maîtres’, de ce que disait Saint Jean dans son Apocalypse : la société sera détruite par la femme et le commerce.
L’intelligence de la femme, avoir voulu être intelligente !

3,1. Or le serpent était le plus rusé de tous les animaux que le Seigneur Dieu avait formés sur la terre. Et il dit à la femme : Pourquoi Dieu vous a-t-Il commandé de ne manger du fruit d’aucun des arbres du paradis ?

3,2. La femme lui répondit : Nous mangeons du fruit des arbres qui sont dans le paradis ;

3,3. Mais pour ce qui est du fruit de l’arbre qui est au milieu du paradis, Dieu nous a demandé de n’en point manger, et de n’y point toucher, de peur que nous ne mourions.

3,4. Le serpent repartit à la femme : Certainement vous ne mourrez point.

3,5. Mais c’est que Dieu sait qu’aussitôt que vous aurez mangé de ce fruit, vos yeux seront ouverts, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.

3,6. La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau à la vue, et agréable à contempler. Et en ayant pris, elle en mangea, et elle en donna à son mari, qui en mangea aussi.

Genèse, «Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion», réf. page 333.

Nous avons vu7, que de Volonté divine l’interdit n’avait pas été donné à la femme, mais qu’à Adam ; et ce pour qu’il l’enseigne Lui-même à la femme, le lui fit connaître…

Ce que nous venons de lire nous montre bien qu’Adam remplit bien sa mission d’enseignant car en effet la femme dit : Dieu nous a demandé de n’en point manger, et de n’y point toucher, de peur que nous ne mourions.

Nous voyons le Serpent dialoguer, discuter, négocier, comme le monde moderne, pour obtenir l’embrouillement de la femme !

Et de fait, cela uniquement parce qu’elle avait, bien avant de discuter avec le Malin, fuit l’Autorité d’Adam, sa protection ! Jamais Lucifer n’aurait approché Adam, et donc d’elle, si elle était restée l’hombre indissociable de son Maître. Jamais le Malin n’aurait pu l’approcher !

Nous avons vu ainsi que le péché originel était la faute :

*

d’Adam, de n’avoir pas corrigé la femme qui avait forniqué avec le serpent, et donc d’avoir ainsi validé sa révolte…, mais avant :
*

de la femme ayant pris la pomme négociée, discutée par le prince des psychiatres-violeurs de consciences…, mais avant :
*

de la femme qui voulu avoir la connaissance, l’intelligence, l’éclairement, les lumières proposées par le prince des Illuminés… Elle a voulu une connaissance qu’elle ne pouvait aborder !, mais avant :
*

de la femme s’étant écartée d’Adam son Protecteur ce qui permit au serpent de l’approcher, de dialoguer avec elle…

Donc la faute originelle est qu’Adam n’a pas empêché la femme de s’écarter de Lui ! La faute originelle est donc l’‘émancipation’ de la femme permise par la négligence d’Adam ! La faute originelle vient donc de l’émancipation de la femme ! Le malheur est donc rentré dans le monde par la révolte ‘émancipatrice’ de la femme8 !

Reprenons, la faute originelle :

*

La femme fut tentée parce que ‘libérée’, écartée de son Maître !
*

La femme voulu avoir la connaissance proposée par l’Illuminé, être ‘intelligente’ et pour cela…
*

La femme a pris la pomme négociée par le serpent et la proposée à Adam au lieu…
*

Adam aurait dû compatir à la femme en la corrigeant, en la disciplinant, et non en lui cédant… CQFD !

La désolation de cette terre vient de la révoltée !

Leur but, a ‘eux’, actuellement et depuis plus de 200 ans, est la destruction de la Famille. Ainsi ‘ils’ poussent à ce que :

*

la femme s’écarte un tant soit peu de son Maître, sorte sans permission, ou à cause de la ‘lassitude’ de son Époux, pour que…
*

la femme soit ‘éclairée’, enseignée, ensemencée par les Illuminés avec qui elle fornique, puis que…
*

la femme veuille son autonomie, de l’argent, l’égalité d’avec son Homme, que sa suggestion lui devienne insupportable, afin que…
*

la femme s’‘affranchisse’ totalement de son ‘tyran’ d’Époux, s’en sépare-divorce en s’emparant de la caisse et des enfants9 ! CQFD !

La désolation familiale vient de la ‘libérée’ !
Saint Paul : dit la révolte, la transgression de la Femme !

11 Que la femme reçoive l’instruction en silence, avec une entière soumission.

12 Quant à enseigner, je ne (le) permets pas à la femme, ni de prendre autorité sur l’homme ; mais (elle doit) se tenir dans le silence.

13 Car Adam a été formé le premier, Ève ensuite ;

14 et ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression.

15 Néanmoins elle sera sauvé par la maternité, pourvu qu’elle persévère dans la foi, la charité et la sainteté, unies à la modestie.

Première Lettre de Saint Paul à Timothée, chapitre 2.

Que la femme reçoive l’instruction en silence, soit, et comme le dit la suite avec une entière soumission, ce qui ne veut pas dire qu’elle ne puisse interroger pour s’instruire, mais : que son Époux, qu’en sa maison et respectueusement.

Saint Paul nous le dit bien : si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée10.

Quant à enseigner, je ne (le) permets pas à la femme ; ni sur l’Homme évidemment ; ni sur les garçons comme nous le verrons plus loin !…

Le : ni de prendre autorité sur l’homme est une condamnation sans appel de la femme se comportant contre-naturellement :

*

cheftaines diverses, toutes castratrices de futurs Hommes ;
*

institutrice ou professeur(e), maîtresse de stage, etc. ;
*

médecin et même infirmière11, soignante quelconque, etc. ;
*

juge et avocat, huissier, etc. ;
*

patron et chef de tous genres, etc. ;
*

maire, ou ayant mandat politique quelconque12, etc. ;
*

policier et gendarme, militaire, etc. ;
*

fonction publique quelconque, etc. ; etc., etc., etc. !

Bref tout ce qui donne à la femme une position plus ou moins ‘dominante’ ou de domination sur l’Homme est interdit parce que positivement contre-nature !

Saint Paul confirme aussi que la femme est à l’origine de tous les malheurs du monde : ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression13.

Néanmoins elle sera sauvé par la maternité…, maternité naturelle ou spirituelle. Cette dernière, la spirituelle est surtout compréhensible pour les chrétiens : femmes consacrées (religieuses) se vouant à la prière pour le salut des Âmes particulièrement ; ou religieuses enseignantes de filles ; ou soignantes comme les Filles de la Charité14…

Où nous en revenons à parler de la direction spirituelle de la femme !

Nous avons lu un peu plus haut : si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison. Comme déjà vu copieusement tout au long de cette étude15, c’est l’Époux qui est chargé de la direction spirituelle de Son épouse et non le prêtre.

Pourquoi insister si fort sur cette prérogative évidemment exclusive de l’Époux : la direction spirituelle ? Parce que l’épouse cherche maladivement, presque sans s’en rendre compte car il y a si peu dans sa pauvre petite tête : un contre-pouvoir16 à Celui de son Époux, afin de le contrecarrer, de s’émanciper de Lui !

Et où cherche-t-elle ce contre pouvoir ?, auprès :

*

de ‘sa’ famille qu’elle quitta définitivement et volontairement, soit : adultère, fornication17.
*

des tribunaux du ‘pouvoir’ civil, toujours incompétent dans ce cas là et totalement illégal maintenant, après être passée par la commissaire du peuple appelée aussi dans nos contrées ‘assistante sociale’, puis police ou gendarmerie : adultère, fornication.
*

des prêtres avant tout cela, dans nos milieux dits catholiques, même ‘traditionnels’, afin de vérifier si son Époux n’outrepasse pas Ses Pouvoirs, ne dévie pas en son enseignement, etc. : adultère, fornication. Par ex. :

1.

Question : Il m’embrasse dans le cou, ou la …, ou lors de mes périodes (quelle impudicité !), le peut-Il ? Réponse : mais non madame, refuser fermement, c’est un obsédé !
2.

Question : Il veut me consommer [devoir, obligation conjugale !] quand je ne le veux pas, le dois-je ? Réponse : mais non madame, il doit vous respecter !
3.

Question : Il veut me couper de telle relation, a-t-il le droit ? Réponse : mais non madame, il n’a pas le droit, c’est ‘votre’ Famille, vos amis, il n’a pas le droit de vous couper de tout le monde, etc. !
4.

Question : Il veut mettre les enfants dans telle école, puis-je m’opposer ? Réponse : mais bien sûr madame, vous devez vous opposer à cette décision !
5.

Question : Il veut que nous quittions votre chapelle (paroisse) parce qu’Il dit que votre enseignement dévie ! Réponse : mais non madame, Il n’est pas compétant, Il n’ a pas à vous imposer ses opinions18, il est urgent de résister !
6.

Question : Il veut que je le serve avec joie et empressement et que je me livre pleine d’entrain, le dois-je ? Réponse : mais non madame, il a vraiment une conception musulmane19 [textuel] du Mariage !

Merci, pour les musulmans qui en cela, comme en beaucoup d’autres choses que nous avons vu dans ce document, ne font strictement rien de mal !

7.

Question : Il ne veut plus de telle opinion défendue par le prêtre x quand à la situation dans l’Église, et il veut que nous allions dans une autre chapelle, dois-je le suivre ? Réponse : mais absolument pas madame, restez ferme, fidèle, et s’il vous empêche de venir ici, alors il faudra vous en séparer !

Vous avez bien lu !, pour rester ‘fidèle’, il faut être infidèle : vous en séparer ! Ils disent la chose et son contraire ! Contradiction interne : pour être fidèle, il vous faut trahir ! Pour rester ‘fidèle’, il vous faut être infidèle !

Ce qui veut exactement dire : pour rester ‘fidèle’ au prêtre fornicateur et forcément illégitime, vous devait être infidèle à votre Époux forcément légitime !

Vous pensez que c’est un peu fort de café ?, voici un des cas que nous avons ici : Dans un tout jeune couple, de pas même trois ans de Mariage et le 2ème tout juste né, l’Époux, seul responsable en Sa Maison, décide de couper d’avec un certain courant Trahitionaliste. L’épouse se rebiffe pensant penser, et menace son Époux à l’instigation des prêtres de cette mouvance ! L’Époux reste ferme, alors soutenue par ces prêtres l’épouse trahit son Époux en demandant la séparation de corps ; et nous vous le donnons dans le mille : pour attouchements sur les enfants, etc. !

Le Père de cette épouse, Père d’une famille bien nombreuse, plein de clairvoyance soutient l’Époux de sa fille ! Eh bien voici ce qui arriva, ces prêtres mirent la zizanie dans ce deuxième couple : l’épouse du Père quitta son Époux, demanda la séparation de corps avec les argument classiques : attouchement sur les enfants, viol de Son épouse, despotisme, etc.

Deux ménages mis en ruine par la faute de la femme évidemment, mais ‘grâce’ à un gourou de ces sectes en arrière plan, tapis dans le confessionnal et ensoutané de ses peaux de brebis, un cloaque d’impureté !

Réfléchissons un tant soit peu, devant l’éclipse, la ‘disparition20’ de l’Église, comment un prêtre peut-il dire qu’il détient la bonne opinion alors qu’il y a des centaines d’autres de ces pervers qui donnent des centaines d’autres opinions dans ce temps de confusion ? De plus, la femme ne sait pas, ne peut rien savoir, devant suivre comme nous l’avons bien vu avec l’interdit dit à Adam, elle ne peut et ne doit suivre que Lui21 !

*

Ce n’est jamais une ‘inquiétude’ de la femme qui la pousse à aller voir à l’extérieur ce qui se dit, et ici un prêtre, mais uniquement l’envie d’échapper à son Époux et de Lui opposer une ‘contre-autorité’, un contre-pouvoir !
*

Ce n’est jamais le ‘soucis’ des Âmes ou de la ‘défense’ de la Vérité qui pousse les mauvais prêtres, soit tous les prêtres dans ce cas de relation ‘prêtre à épouse’, à ‘diriger’ une femme, mais uniquement l’envie de se hausser le col à pas cher, car avec une femme ce n’est jamais bien difficile, et surtout avec celle qui a décidé de se révolter ; l’envie de jouir (Oui, oui, voir ensuite) de sa ‘direction’, de sa manipulation ; l’envie de liquider un Homme qui est forcément plus clairvoyant et qui donc ne s’en laisse pas conter ; l’envie d’avoir tout simplement une femme bien qu’ayant fait vœu de chasteté, l’envie de forniquer !

Voyez-vous, l’on dirait que ces mauvais prêtres ne pensent qu’à cela : de se venger de leur célibat sacerdotal, de se défouler de leur privation de femme, une véritable haine jalouse et vicieuse de l’Époux ! De véritables obsédés, ce que disait la Très-Sainte Vierge Marie à La Salette : Les prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres par leur mauvaise vie, par leurs irrévérences et leur impiété à célébrer les saints mystères, par l’amour de l’argent, l’amour de l’honneur et des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes22.

Ils ne pensent qu’à faire ‘ménage à trois’ ! Et si l’Époux se refuse à ce viol-adultère, à cette fornication en virant le cloaque d’impureté, le loup déguisé en brebis23 ; alors, afin de pouvoir faire que ‘ménage à deux’, ils poussent fielleusement l’épouse à la séparation-divorce, sous couvert de la libérer d’un Mari ayant une conception musulmane [re-textuel24] du Mariage par ex. ! Il sont jaloux de la Puissance exclusive et totale (en toutes choses) de l’Époux sur Son épouse et sur toute Sa Maison !

Puissance exclusive et totale de l’Époux sur sa Maison ? Oui, et nous l’avons plus que vérifié tout le long de ce document, et nous venons de le revoir confirmé par Saint Paul : si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison ! Point à la ligne !

La Puissance exclusive et totale de l’Époux sur Sa Maison !

Savons-nous lire oui ou non ?, les mots ont-ils un sens oui ou non ? L’épouse !, et sur quelque point que ce soit !, soit : pour s’instruire, savoir, lever un doute, comprendre, ou éclairer sa conscience, etc., doit interroger dans une totale sujétion, comme nous allons le voir ensuite, son Époux à qui Dieu le Père l’a assujettie, et donc personne d’autre et qui que ce soit, et ce à la Maison.

Interroger son Mari à la Maison !, donc pas devant des témoins, comme par envie, qu’elle aurait la pauvrette, que son Époux soit pris à défaut devant un prêtre, ou quiconque, forcément voyeur, vicieux, fornicateur !

Le à la Maison, veut bien dire, sauf hypocrisie caractérisée dont ces ensoutanés de peaux de brebis sont de grands virtuoses : dans l’intimité, de visu, l’épouse humblement prosternée demandant à son Époux et dans une totale sujétion : Son enseignement, Sa direction spirituelle !

La dépendance infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui !

Histoire de nous préparer, nous devons lire ceci qui ne peut être taxé de machisme, car c’est une femme qui parle :

L’égoïsme25 est l’épine dorsale de la vie ; les heureux mortels qui en sont doués, qui peuvent se régler sur leurs émotions, ont au dedans d’eux un point fixe sur lequel ils peuvent articuler leurs actions à leur propre avantage, sur lequel ils peuvent les coordonner.

L’égoïsme est un phare qui éclaire lumineusement sa propre route ; l’homme qui le possède n’a besoin de personne pour arriver au but qu’il s’est fixé plus ou moins consciemment, il n’a pas besoin d’aide, il n’a pas besoin d’appui, il sait où il va, il peut y aller seul, la femme ne le peut pas ; la femme qui est altérocentriste a besoin des autres, non seulement pour les aimer et en être aimée, mais pour être dirigée par eux. L’altérocentriste est comme une plante grimpante qui aspire à couvrir de verdure et de fleurs le pieu desséché, le mur froid, auprès duquel elle se trouve, mais qui meurt si elle ne trouve pas ce tronc aride où s’appuyer, cette muraille inerte où accrocher ses radicelles.

La femme est privée de cette épine dorsale que l’égoïsme fournit à l’homme ; elle est privée de la direction fournie par les émotions personnelles : telle est la cause pour laquelle elle a besoin de lui ; elle a besoin de ce point fixe qui échappe à l’agitation continuelle à laquelle elle est elle-même en proie, qui l’empêche de tourner à tous les vents26 où se disperseraient ses forces. Elle a besoin d’une énergie qui concentre son ardeur et la dirige dans une direction donnée.

On prétend que cette soif d’appui est due à une moindre intelligence, à une éducation défectueuse. Non, l’éducation la plus soignée n’affaiblit pas chez la femme ce besoin d’appui : il croît au contraire avec le développement de son intelligence, avec la multiplication des idées qui l’enveloppent dans un tourbillon de sensations, d’observations dont elle ne comprend pas la raison, dont elle ne connaît pas la portée, dont elle ne sait pas tirer parti. […] (« La dépendance de la femme » pg 42-43)

L’incertitude, la sensation d’égarement que la femme éprouve à la pensée d’être seule, son besoin d’un homme qui la dirige et la soutienne, sont la raison de l’humilité, de l’admiration sans bornes que la femme est disposée à professer pour l’homme qu’elle considère instinctivement comme son protecteur : humilité et admiration qui attirent si fortement l’homme vers elle. L’homme, en effet, qui a un égoïsme suffisant pour diriger la femme en même temps que lui-même, est très flatté de cette preuve de sa supériorité qu’elle lui donne et en fait volontiers usage à son profit. (« Les énigmes de l’âme de la femme » pg 151)

L’Âme de la femme, de Gina Lombroso – Payot, Paris, 1941.

Nous avions dit sans langue de bois !

Seul, l’Époux peut jouir de la direction de Son épouse !

La complémentarité ?, un duel d’amour : dominant – dominé…

*

À l’épouse, comme à la femme en général (fille, sœur, etc.), la dominée de Volonté divine, il est absolument évident que d’être dirigée lui procure une jouissance apaisante, tranquillisante, etc. ; à elle qui a un besoin essentiel de direction spirituelle, intellectuelle et matérielle !
*

À l’Époux, comme à l’Homme en général (fils, frère, etc.), le dominant de Volonté divine, il est absolument évident que de diriger, enseigner, rassurer, protéger, etc. procure une jouissance ; à Lui qui a un besoin essentiel d’avoir une compagne soumise à son service : l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme27 !

Nous avons tous deux ce besoin essentiel : la femme d’être dominée, l’Homme de dominer. Ce ‘besoin’ est tout simplement inscrit en nous par la Providence divine ou par ‘dame nature’ pour les essentiellement négationnistes. Et cette Loi, ce besoin se retrouve dans toute la nature et ainsi donc nous voyons la lionne satisfaite d’être inféodée au Lion dominant, la bufflonne docile devant son Buffle dominant, etc.

Soit nous acceptons cette hiérarchisation qui est, ou soit nous nous révoltons ; et alors il n’ y a qu’une question à poser, est-ce que la révolte changera la disposition de Dieu ou ou de ‘dame nature’ ? La réponse n’est que non !, alors ?…

Ce ‘besoin’ est tellement infrangible, que si l’on se révolte contre cette amoureuse relation dans la domination-soumission voulue par Dieu, et principalement dans le Mariage, que fatalement ne pouvant s’en affranchir on tombe sous les griffes du Malin qui installe alors après destruction de ce Mariage une errance telle que souvent elle finit par une ‘relation’ de sadique-masochiste, avec toutes ses variantes, toutes plus horribles les une que les autres28 ! C’est ainsi !

Nous devons revenir au prêtre ‘directeur’ spirituel d’une épouse.

Ici, nous ne parlons pas de la femme consacrée, qui n’a pu l’être qu’avec l’autorisation de l’Homme29 de la Maison (Père, frère, etc.) et qui est épouse du Christ et qui doit être dirigée par un prêtre avec des réserves que nous verrons plus loin !

Nous avons bien vu qu’une femme est totalement incapable, de Volonté divine, de se diriger30, et que conséquemment elle doit donc être dirigée. Nous avons aussi bien vu qu’il y a une bien réelle jouissance hautement légitime pour l’Homme à diriger une femme, et pour la femme à être dirigée par un Homme. Nous avons aussi très bien vu que cette jouissance ne peut qu’être !

Oui, l’on ne peut diriger sans ressentir cette jouissance ; et l’on ne peut être dirigée sans ressentir cette même jouissance.

Et donc ainsi, le prêtre qui viole l’honnête sujétion de l’épouse à son Époux31 qui de Volonté divine doit la diriger, l’enseigner, car dit Saint Paul si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison, commet bien une fornication avec cette épouse. Il y a bien adultère ou viol selon qu’elle consentement ou pas !

Le prêtre qui dirige une femme non consacrée, soit une femme forcément sous tutelle32 d’un Homme, comme épouse ou mère, fille ou une sœur, est un pervers, et c’est ce qui faisait dire à la Très-Sainte Vierge Marie à La Salette : les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes33.

Oui, et nous voyons bien, et de plus en plus, que c’est majoritairement la femme révoltée qui détruit le Mariage, et ce dans certains milieux avec l’aide ‘irremplaçable’ de ces mauvais prêtres et principalement ceux de la Trahition34, qui ne pensent qu’à fricoter, forniquer avec nos épouses !

Ce que nous venons de voir, le s’instruire sur quelque point, confirme bien aussi ce que nous énoncions précédemment35, que le Chef est aussi Prêtre en Sa Maison, car comme le confirmait (et non : l’autorisait !) Mgr Jean-Joseph Gaume entre de nombreux autres Saints auteurs : Il est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire36.
Saint Bernard : commente la faute de la Femme.

Tu serais bienheureuse, toi aussi, ô Ève, si après ta faute, tu avais cherché la consolation des larmes ; si ton cœur s’était tourné vers le regret, tu aurais promptement obtenu ton pardon. Mais voilà que tu as recherché une bien misérable consolation, en entraînant ton mari dans ta chute ; tu as ainsi empoisonné toute ta race, en lui inoculant un poison terrible, un vice affreux, tel enfin, que de nos jours encore, on se console de son malheur par le malheur des autres. Ô Ève, quelle malheureuse consolation est la tienne, et combien malheureuse aussi est la consolation de ceux qui t’imitent !

Saint Bernard, premier sermon pour la fête de la Toussaint. Sur ce passage de l’Évangile : «Jésus voyant la foule, etc. (Matt. V, 1).»

Une pauvresse a tenté de mettre un message37 sur notre site, et conformément à Notre commentaire quant aux commentaires…, et surtout à cause de son insensée méchanceté et grossièreté nous ne l’avons pas accepté.

Elle disait, et elle ne peut plus le comprendre : Y a t il un méfait, un drame sur terre qui ne soit pas de la faute des femmes à vos yeux !?

Oui, il n’y a pas un méfait, un drame dans le monde, et ce sous toutes les latitudes, et à toutes les époques, et pour notre plus grand malheur il en sera ainsi jusqu’à la fin de ce monde, qui ne soit la faute de la femme ! Cette intrigante rentre partout et de ses propres mains détruit tout : Depuis Adam, il n’y a eu guère de méfait en ce monde où une femme ne soit entrée pour quelque chose38. (William Thackeray)
Saint Jean-Marie Vianney, commente la faute d’Ève…

Le démon qui, par son envie, avait déjà perdu le ciel, ne pouvant souffrir que l’homme, qui lui était très inférieur par sa création, fit si heureux dans le paradis terrestre, voulut essayer de l’entraîner dans son malheur. Hélas ! il ne réussit que, trop bien. S’adressant à la femme comme à la plus faible, il fit briller à ses yeux les grandes connaissances qu’elle aurait de plus, si elle mangeait le fruit que le Seigneur lui avait défendu de manger39. Elle se laissa tenter et tromper, et porta son mari à faire de même. Cette faute leur coûta bien cher ; dès cet instant, ils furent condamnés à la mort : ce qui est la punition la plus humiliante, l’homme étant créé pour ne mourir jamais.

Sermons du Saint Curé d’Ars, Tome III, 18ème dimanche après la Pentecôte, sur l’Envie.

Le Saint curé d’Ars, confirme bien que la femme ne peut égaler l’Homme et ce de Volonté divine, Il dit : S’adressant à la femme comme à la plus faible. Il confirme aussi, chose qu’Adam étant véritablement intelligent ne recherchait pas, qu’elle désirait : les grandes connaissances qu’elle aurait de plus.

Elle se laissa tenter à vouloir être intelligente, et elle entraina Adam !, non sur le terrain de cette acquisition illégitime, car dit Saint Paul ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression, mais sur celui de la lassitude, la lâcheté, Il a écouté la voix de la femme. Or, s’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission40.
Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie xii à la femme.

Confirmation de la sujétion, de la servitude de l’épouse :

Nombre de voix autour de vous vous la représenteront, cette sujétion [à votre Époux], comme quelque chose d’injuste ; elles vous suggéreront une indépendance plus fière, vous répéteront que vous êtes en toutes choses les égales de vos maris et que sous bien des aspects vous leur êtes supérieures. Prenez garde à ces paroles de serpent, de tentations, de mensonges : ne devenez pas d’autres Èves, ne vous détournez pas du seul chemin qui puisse vous conduire, même dès ici-bas, au vrai bonheur.

«Pie XII, allocution aux jeunes mariés du 10 septembre 1941.», page 336.

Pie XII s’adresse ici à la femme déjà quelque peu égarée, car autrement c’est à son Époux (ou Père ou frère…) de le lui enseigner…

Nous venons de lire : des paroles de serpent […] vous représenterons votre sujétion à votre Époux, comme à l’Homme en général, comme quelque chose d’injuste.

*

Sujétion : État de celui/ce qui est assujetti à quelqu’un ou à quelque chose. État de dépendance (par rapport à quelqu’un), d’assujettissement (à quelqu’un). Servitude, dépendance, assujettissement, asservissement.

De Droit, totalement assujettie à son Époux !

Cette sujétion que la femme doit à son Époux, elle la doit à l’Homme en général. Ainsi, toute femme dans n’importe quelle situation ne peut, ne doit jamais supplanter un Homme.

Ceci nous donne l’occasion de parler des reines, comme épouse et régnantes, qui sont positivement des situations contre-nature. En effet, la femme ne peut dominer l’Homme n’ayant aucune puissance41 ; et donc une ‘reine’ d’Angleterre maintenant et avant, ou d’Espagne ou du Portugal des années passées, est quelque chose de scandaleux, contre-nature !

Si l’on regarde que le foyer que cette femme a l’honneur d’habiter, elle doit être soumise à son Époux alors que Celui-ci serait soumis à sa reine ! Comment gérer une situation de dominant dominé ?, impossible ! Comment peut-on dire la chose : soumise à son Époux en toutes choses42 ; et son contraire : soumis à sa ‘reine’ ! Comment peut-on dire oui mais non !

Voici ce que disait Notre Seigneur Jésus-Christ : Je suis venu en ce monde pour rendre témoignage de la Vérité. (Math. 18, 37) - Celui qui agit selon la vérité vient à la lumière. (Jean 3, 21) - Que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal. (Math. 5, 37)

*

Comment la ‘reine’ pourrait-elle gouverner le royaume, alors que pour toutes choses elle doit tout soumettre à son Époux, à qui elle doit être totalement assujettie ?
*

Comment, alors qu’elle ne peut sortir comme le confirme le Concile de Trente, car : elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris, peut-elle sortir pour s’occuper de ‘son’ royaume ?
*

Comment peut-elle gérer un royaume, n’ayant pas de biens propres, vu que c’est le mari qui est maître des biens communs, et non pas la femme43 ?
*

Comment, et ce par quoi nous aurions dû commencer, prétendrait-elle gouverner un royaume, alors qu’elle est totalement incapable, de Volonté divine, de gouverner ne serait-ce qu’elle-même comme nous l’avons vu dans toute cette étude44 ?

Le droit salique45 était fort juste, fort Droit !, ainsi lorsqu’une reine se trouvait veuve, en attendant l’émancipation du dauphin, c’était un régent qui gouvernait et qui était en avant.

La femme doit être toujours et en tout assujettie à l’Homme…

Il n’y a pas de milieu, c’est : oui ou non, soumis à la Loi divine ou révolté, intransigeant ou transigeant, antilibéral ou libéral, intègre ou corrompu, ordonné ou désordonné, etc.

Il n’y a pas de milieu : soit l’on rame46 intégralement à contre-courant, ou soit l’on se laisse filer plus ou moins dans le courant.

C’est un tout, c’est un paquetage indissociable, il n’y a pas de milieu :

*

À votre votre boulanger vous ne pouvez demander de lécher la crème de ce gâteau si appétissant et de ne payer que celle-ci ; et de lui laisser le reste à ses larmes…
*

Au Père de cette si innocente et délicieuse jeune fille (de fait ce qu’elle devrait être !) vous ne pouvez demander de la déflorer, de la consommer qu’une seule fois ; et de laisser le reste sur le comptoir, à ses larmes47…

C’est de l’hypocrisie : La Vérité n’est pas un saucisson que l’on peut trancher ; l’on ne peut se dire Intransigeant et transiger sur ne serait-ce qu’un seul point ! Comment pouvons-nous moraliser nos ennemis qui de fait sont des transigeant n’ayant transigé qu’un peu plus que nous ?

C’est de l’hypocrisie : Une jeune fille ne peut se perdre qu’une seule fois ‘seulement’ et dans le même temps jouer aux vierges effarouchées !

C’est de l’hypocrisie : Nous ne pouvons enfreindre ne serait-ce qu’une seule fois La Loi et dans le même temps se scandaliser de notre ennemi qui l’enfreint un peu ou beaucoup plus !

C’est de l’hypocrisie : Nous ne pouvons céder à une démangeaison et dans le même temps nous scandaliser de notre ennemi qui cède à une plus grande démangeaison.

Démangeaison ?, voici ce que Notre Seigneur Jésus-Christ disait : Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une vive démangeaison48…

C’est de l’hypocrisie : Que de vouloir, de fait, que notre ennemi ait la même démangeaison que nous, en même temps que nous et avec le même intensité que nous : pour ne pas le considérer comme notre ennemi !

Ainsi, soit nous sommes en tout, intransigeants, intègres, antilibéraux, etc. ; ou soit, et cela n’est qu’une question de temps, nous ferons même pire que nos ennemis de cette heure !

Il est commun de dire que nous avons 15 ans de ‘retard’ sur le matérialisme des USA ! Considérons que la déliquescence des USA n’ayant jamais diminué, mais bien au contraire frénétiquement augmenté : qu’il y a 20 ans nous avions déjà 15 ans de retard sur eux ; et que dans 20 ans nous aurons encore ces mêmes 15 ans de retard sur eux ! Aussi, n’étant ‘que’ dans le wagon de queue, nous nous scandalisons que nos ennemis soient dans le wagon de tête de ce train infernal avançant tout droit vers l’abime éternel !

En étant pas intégralement intransigeants, nous finirons forcément en enfer ! Et notre seule ‘consolation’ serait que cette perdition n’arrivera, bien fatalement soyons-en certains, que quelques secondes après celle des passagers du wagon de tête ?

Si nous ne sommes pas vraiment Intransigeants, nous transigeons !

Léon XIII aux Archevêques et Évêques d’Italie, fin 1892 :

Il faut ensuite chercher toutes les occasions favorables à la guérison de ceux-là mêmes qui pèchent en cela par timidité ; Nous voulons parler de ceux qui se laissent aller à favoriser les entreprises de la Maçonnerie, non par l’effet d’une nature dépravée, mais par faiblesse d’âme et manque de jugement. Ici s’applique cette grave pensée de Notre prédécesseur Félix III : « l’erreur à laquelle on ne résiste pas, on l’approuve, et la vérité que l’on ne sert pas on l’opprime… Celui-là n’a pas de scrupule pour la société secrète, qui cesse de s’opposer à un crime évident ». Il importe de relever le courage de ces hommes en leur proposant l’exemple des ancêtres, en leur rappelant que la force est la gardienne du devoir et de la dignité, afin qu’ils se repentent vraiment et qu’ils aient honte d’agir ou d’avoir agi sans virilité. Car toute notre vie est une véritable bataille, dont l’objectif surtout est notre salut, et il n’y a rien de plus honteux pour un chrétien que de broncher dans le devoir par lâcheté./…

Cité par «Le 33ème \ Crispi», de Diana Vaughan, page 296-297

Dans cette citation, Léon XIII parle ‘d’ignorance’ ou ‘silence’ au sujet de la vérité ; alors lorsque c’est prémédité, intentionnel…, c’est bafouer, renier la vérité : attaque du Sacrement du Mariage par ex., etc…, cela fait frémir !

1ère transgression, peut-être lâcheté ; 2de, apostasie !

Plus haut nous avons écrit ‘ignorance’ entre guillemets ; en effet c’est toujours une ignorance bien coupable, bien volontaire ! Le Saint Curé d’Ars s’écriait : Ô mon Dieu ! que l’ignorance damne du monde49… Nous aurons beau dire comme le petit Gibus : Oh ben mon vieux, si j’aurais su j’aurais pas venu... !, nous y serons ! et nous ne pourrons que nous le reprocher car en effet : nul ne se sauve ou se damne sans l’avoir voulu de volonté certaine !

Si elle doit être assujettie à l’Homme, elle ne doit donc pas prédominer !

La femme ne peut ni dominer ni enseigner l’Homme, donc elle ne peut ni écrire d’article, ni donner d’‘opinion’, ceci est une très grave transgression à la Loi divine. L’on ne peut se ‘scandaliser’ de notre ennemi qui est dans le wagon de tête, alors que nous sommes bien en queue de ce train infernal !

Saint Paul le rappelle bien : Que les femmes se taisent dans les assemblées (I Cor. XIV, 34) ; je ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).
La femme, en général, ce qu’elle est.
Par le signe de la Croix, cette bonne femme en sait déjà tant.

Lorsque tu portes la main à ton front en disant au nom, sans s, le signe de la croix t’enseigne l’indivisible unité de l’essence divine. Par ce seul mot, enfant ou bonne femme, tu en sais plus que tous les philosophes du paganisme. Quel progrès d’un seul coup !

Le signe de la Croix au dix-huitième siècle, Mgr Gaume, Sixième lettre, ± 4ème page…

Époux, commence par l’enseigner par le Signe de la Croix.

Par Lui, enseigne-lui le renoncement, l’abnégation, l’esprit de sacrifice, enseigne lui la soumission, sa soumission.

Ainsi elle comprendra qu’elle doit craindre, pleine de respect, son Époux ; ainsi, elle Lui obéira amoureusement.

Et, en en sachant déjà plus que tous les philosophes du paganisme, doit-elle en connaître plus que ce Signe de la Croix ? Soyons un tout petit peu provocateurs : Non !, ce Signe de la Croix lui suffit amplement ! Surtout si l’on se souvient que La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants50.

Nous verrons51, quelle doit être l’éducation de la fille en vue de sa Mission : son Mariage…
Mgr Gaume : Est-elle capable de raisonner ?

Chez les enfants, comme chez les femmes, les axiomes ne bougent plus, parce qu’ils se fixent en eux par impression et non par raisonnement.

Chapitre X – L’enseignement public (suite), La femme et l’homme. «Histoire société domestique – 1844 – Mgr Gaume», réf. page 335.

Femme, Marie-Ségolène Royal pense penser !

Écoutez (sur internet cela est bien facile), lisez tous les discours de cette pauvresse, écoutez bien, ce n’est que : je pense…, c’était particulièrement flagrant pendant la campagne électorale de 2007. Marie-Ségolène pensait tellement bien qu’elle pensait penser !

Un homme dit je ferais ceci, je vais faire cela !, et notre pauvresse comme toute femme du reste disait : je pense !

Elle pense et pensait tellement bien que :

*

Elle a traité ignominieusement son Père52, semé la révolte dans ses frères et sœurs, poussé positivement sa mère à se révolter contre son Époux ; puis a trainé son Père devant les tribunaux ! Une fille parfaite !, même pas capable de jeter un voile pudique sur son Père, en supposant que !: manteau de Noé. De fait une ‘parfaite’ révoltée !
*

Elle ne fut même pas capable de se comporter un tant soit peu honnêtement avec son poupon de prince consort pas : François Hollande.
*

Elle ‘pense’, devant des millions de téléspectateurs, faire protéger la femme par un Homme autre que le sien, son Protecteur naturel !…

Faire reconduire la fliquette ‘affranchie’ de son Homme, par un macro !

Vous souvenez-vous du débat pour la présidentielle 2007, le face à face Sarkozy-Royal du 2 mai 2007 pour le 2ème tour du grand cirque démoncratique ?

Révisons ce passage absolument surréaliste, ubuesque :

Nicolas Sarkozy : […] Le groupe socialiste ne les a pas votées, mais passons, ce n’est pas le plus important.

Ce qui est très important, vous avez parlé de cet abominable viol dans le parc de Bobigny. Dites-moi, si vous devez faire raccompagner toutes les femmes fonctionnaires chez elles la nuit…

Ségolène Royal : Parfaitement !

Nicolas Sarkozy : Il y aura une fonction publique au service des Français et une autre fonction publique au service des fonctionnaires qui rentrent chez eux.

Ségolène Royal : Cela ne m’amuse pas, mais avez-vous une autre solution ?

http://www.liberation.fr/actualite/politiques/elections2007/251273.FR.php?rss=true

Reprenons le drame que cette femme a objectivement cherché :

Alors qu’elle quittait son service à la Direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis de Bobigny, une jeune policière a été violée dimanche matin, par des agresseurs qui n’ont pas pu être identifés. Selon une source policière, deux ou trois personnes auraient été interpellées, puis mises hors de causes.

http://podcast.alliancepn.fr/index.php/2007/04/29/28-une-femme-policier-violee

Nous, nous disons à la suite de la Loi naturelle : la femme en sa Maison, protégée par son Époux !

‘Eux’, disent que la femme est libre parce qu’égale à l’Homme, elle est capable et autonome !

Elle est libre parce que l’égale de l’Homme ! Nous vous rappelons que de cette égalité, nous avons dû attendre plus de 6.000 ans pour nous en apercevoir53 !

Et étant donc égale à l’Homme, comment peut-elle être violée par Lui ?, là, il y a un mystère !

Et c’est les mêmes tartuffes qui ont obligé la femme à se ‘libérer’ qui veulent UN flic, pour chapeauter LA fliquette qui est sur le trottoir, soit : un macro ! Oui, les mêmes qui l’ont violemment arrachée à Protecteur naturelle, son Époux, veulent lui imposer un ‘protecteur’ contre-nature ; soit, étant sur le trottoir pour la ‘protéger’ au moment où cette pauvresse de fliquette rentre chez elle : un macro !

La femme étant l’‘égale’ de l’Homme, son Époux, après l’avoir ‘libérée’, ‘ils’ la mettent sous la protection d’un illégitime, d’un contre-nature, d’un macro ! C’est bien ce que nous disions précédemment, devant être dominée, si elle refuse la domination de son Époux, fatalement elle tombe sous une domination perverse54 !

Ainsi nous avons vu la pensée fulgurante d’une ‘pensante’ pensant penser : Marie-Ségolène Royal !

De fait, elle ne ‘pense’ que ce que ‘eux’, en en étant totalement incapable par elle-même, et ce de Disposition divine, lui ont mis dans sa pauvre petite tête d’écervelée.

Oui, répétons-le, la femme est incapable de penser, bien qu’ayant une ‘intelligence’, car comme femme, votre épouse n’a pas du tout, de Disposition divine, de discernement : de politique, de gestion, d’orientation, de choix, etc. Mais uniquement un discernement applicable au fait de savoir si ce qu’elle fait correspond exactement à l’ordre reçu, implicite ou explicite, auquel elle doit une obéissance totale, ‘en toutes choses’, à ‘ce que son Époux lui a marqué’ implicitement ou explicitement !55

Ségolène Royal finit en disant : Cela ne m’amuse pas, mais avez-vous une autre solution ? Oui, pauvresse, celle qui fut testée de tous temps et que le Concile de Trente confirme ainsi : elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris. Ou si vous préférez qu’on le dise plus gaillardement : bobonne aux fourneaux et ainsi pas de viol à l’extérieur !

Qu’il nous soit permis cette boutade, l’on peut résumer cette campagne ainsi :

*

Sarkozy : faire reconduire les clandestins à la frontière par des flics, pour ‘rassurer’ ceux qui veulent absolument croire aux promesses qui n’engagent que les écouteurs des sornettes flûtées malicieusement56 !
*

Ségolène : faire reconduire les femmes à la maison par des hommelettes-flics-macros, pour les empêcher de voir qu’elles se détruisent elle-même !

Quel programme pour gogos ! Voilà où en est rendu leur pauvre monde : un troupeaux de désorientés, de déboussolés conduits par des aveuglés d’orgueil ; et qui, conduits et conducteurs, ne font que dire : Non serviam !
La femme, comme épouse, ce qu’elle doit.
L’épouse doit servir son époux, et non point Dieu.

Ce n’est pas que l’Époux passe avant Dieu !, c’est que la femme n’ayant pas été engendrée pour Lui mais pour l’Homme, elle doit servir l’Homme en général. Et plus particulièrement selon sa destinée première, dans le Mariage : son Époux. C’est uniquement dans la mesure où elle sert que son Époux, et parfaitement, que conséquemment elle sert ainsi Dieu.

Par ex. : un manant sert son Seigneur. Aucunement il doit servir le Roy. Et c’est en servant le Seigneur que conséquemment, le Seigneur étant au service du Roy, que le manant sert son Roy !

Lisons : L’homme est crée pour louer, honorer et servir Dieu, notre Seigneur, et par ce moyen sauver son âme. Et les autres choses qui sont sur la terre sont crées à cause de l’homme [donc la femme aussi : mais la femme pour l’Homme, voir ensuite 11,9.] et pour l’aider dans la poursuite de la fin que Dieu lui a marqué en le créant. D’où il suit qu’il doit en faire usage autant qu’elles le conduisent vers sa fin et s’en dégager autant qu’elles l’en détournent.

Saint Ignace de Loyola - http://membres.lycos.fr/pandarr/citations.htm

11,7. L’homme ne doit pas se voiler la tête, parce qu’il est l’image et la gloire de Dieu ; mais la femme est la gloire de l’homme.

11,8. Car l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ;

11,9. et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme.

11,10. C’est pourquoi la femme, à cause des Anges, doit avoir sur sa tête la marque de la puissance de l’homme.

1ère Épître de Saint Paul aux Corinthiens, «Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion», réf. page 333.

Nous disions que la femme n’est pas faite pour servir Dieu ! De même du reste nous voyons qu’elle n’est pas faite pour la Gloire de Dieu mais pour la gloire de l’Homme ! Elle n’est ni l’Image de Dieu, ni Sa Gloire, ni à Son Service.

Elle est l’image de l’Homme (dérivée), la gloire de l’Homme, et à Son service.

Nous l’avions promis : sans aucune langue de bois !

De son Époux : l’image, la gloire, la servante.

Sa servante ? N’est-ce pas un peu délirant comme terme ?

Non, ce n’est pas de notre faute si tous les termes sont faussés maintenant : soumission, sujétion, subordination, servante, vénération, honoration, faite pour, obéissance totale, humilité, etc. Lisons :

11,10 C’est pourquoi la femme doit, à cause des anges, avoir sur la tête un signe de sujétion.

Autre traduction de la même Épître.

Revoyez plus haut57 ce que veut dire cette sujétion que veint de confirmer Saint Paul…
Servante de son Époux !, Saint Astère, dit-il autre chose ?.

Confirmation de la sujétion, de la servitude de l’épouse :

Elle [la femme, l’épouse] est une partie de vous-même ; elle vous environne constamment de ses soins ; vous la voyez toujours à vos côtés ; vos enfants l’appellent leur mère ; elle est votre secours dans vos maladies, votre consolation dans vos malheurs ; c’est la gardienne de votre maison et de tout ce qui vous appartient. Elle partage vos douleurs et vos joies ; dans la fortune, la possession de vos richesses lui est commune ; dans la pauvreté, elle soutient avec vous le poids de la misère, et cherche, en les partageant, à diminuer les maux qui vous accablent ; enfin que de peine ne se donne-t-elle pas pour élever les enfants qu’elle a eus de vous ? [*] Qu’un malheur survienne, voilà le mari dans l’abattement et le désespoir ; les amis, ou ceux que l’on croyait tels, réglant leur attachement sur les faveurs de la fortune, se retirent à l’approche de l’orage, les esclaves fuient leur maître et la misère dans laquelle il est tombé. La femme reste seule auprès de son mari dans l’affliction ; elle se montre sa servante assidue et dévouée ; elle est attentive à satisfaire à ses moindres désirs, elle essuie ses larmes, elle répand sur ses plaies un baume salutaire ; elle le suit jusqu’au fond des cachots, et si l’on ne veut pas lui laisser une libre entrée, elle demande à s’enfermer avec lui ; qu’on lui refuse cette faveur, et, comme un chien fidèle, elle ne quitte point les portes de la prison. Nous avons connu nous-même une femme qui s’était fait couper les cheveux et, qui avait pris des habits d’homme pour ne pas se séparer de son mari obligé de s’enfuir et de se tenir caché. Tandis qu’elle se livrait aux pénibles travaux d’un esclave, cette femme admirable obéissait aux affections de son cœur ; elle mena cette pénible vie pendant plusieurs années de suite, changeant continuellement de retraite et allant avec son mari de solitude en solitude.

http://www.livres-mystiques.com/partietextes/StAstere/textes/astere3.htm

Inutile de commenter ce texte, si nos ennemis ne veulent pas comprendre, que pouvons-nous y faire ?… Lisez bien aussi après l’* que nous avons placé, ce texte est très important, nous le reverrons plus loin58.
L’épouse ne peut aucunement sortir sans permission.

Un autre devoir essentiel des femmes c’est l’éducation religieuse des enfants, et le soin assidu des choses domestiques. Elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris.

«Concile de Trente - 1545 - Le Mariage», réf. page 334.

Nous pensons l’avoir déjà bien développé !
L’épouse ne doit rien estimer de plus que l’Époux.

Enfin, - et ceci est le point capital dans le mariage elles se souviendront que, selon Dieu, elles ne doivent ni aimer ni estimer personne plus que leurs maris, …

«Concile de Trente - 1545 - Le Mariage», réf. page 334.

Elles ne doivent ni aimer ni estimer personne plus que leurs maris, donc personne !, ni ‘sa’ famille, ni le prêtre, ni le Pape, etc. !

*

Estimer : Avoir une opinion sur, juger, croire.

Estimer personne plus que l’Époux, ce qui veut bien dire estimer que Lui !, n’est-ce pas ?

Ainsi la meilleure opinion est pour Lui !, le meilleur jugement est pour Lui, la meilleure croyance est pour Lui.

Ou…, dit l’épouse : j’opine que par Lui, je juge que par Lui, je crois que Lui !

Et c’est cela que veut dire le : estimer personne plus que leurs maris !

Donc ceci confirme encore qu’une femme qui va ‘vérifier’ le véracité de ce que lui dit son Époux, ne l’estime pas ! Elle commet un péché mortel de désobéissance59, un adultère, une fornication avec un loup ensoutané de peaux de brebis, un cloaque d’impureté !
Pie xi : confirme la fidèle et honnête subordination de la femme.

Les mêmes maîtres d’erreurs qui ternissent l’éclat de la fidélité et de la chasteté nuptiales n’hésitent pas à attaquer la fidèle et honnête subordination de la femme à son mari.

La référence est donnée à la fin de cette série.

Une femme doit être, est forcément subordonnée, soit :

*

Dans le beau, le bon, elle l’est à un Chef légitime comme fille, épouse…
*

Dans le laid, le péché, elle l’est à un manipulateur comme prostituée, ou comme ‘folle’ suivant un leurre tel qu’une idée orgueilleuse d’émancipation, de ‘liberté’…

Pie xi confirme : la dignité de la servitude de l’épouse.

Confirmation de la sujétion, de la servitude de l’épouse :

Nombre d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler d’une indigne servitude d’un des deux époux à l’autre ; ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ; estimant ces droits violés par la «servitude» qu’on vient de dire, ils prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme, déjà accomplie ou qui doit l’être.

*

Servitude : État de celui, de celle qui est serf. […] Obligation impliquée par cet état. […] État d’absence de liberté, de soumission absolue à un maître. […] Rapport social de soumission volontaire ou imposée.

Pie XI confirme bien que l’épouse est dans une digne servitude de son Époux, mais que contrairement à ce que disent ces audacieux, cette servitude est pleine de noblesse et de bonheur vraiment chrétien.

N’étant pas tirée de la tête, elle n’est pas Chef ; n’étant ni tirée du pied, elle n’est pas esclave.

Qu’existe-t-il entre la tête et le pied ?, à l’intérieur de la poitrine de son Époux ?, précisément de là où elle fut tirée par l’Accoucheur divin60 : le cœur. Ce cœur, intermédiaire entre la tête et le pied, est fameusement bien placé, bien plus près du Chef que du pied !

Supposons un Homme de 170 cm, entre l’axe de son front (± 10 cm du haut du crâne) et l’axe des pieds (hauteur négligeable) il y a donc environ 160 cm ; ainsi :

*

Entre l’axe du front, sphère du commandement, et l’axe du cœur, sphère de la servitude, il y a moins de 40 cm !
*

Entre l’axe de ce même cœur, sphère de la servitude, et les pieds, sphère de l’esclavage, il y a plus 120 cm !

Ainsi l’épouse-cœur-servante se trouve bien plus près du Chef que de l’esclave, à moins d’¼ de la distance qui sépare ces deux points extrêmes : le Chef, l’esclave ! Qu’elle considère, l’épouse-cœur-servante, la position si avantageuse où la Providence divine la plaça : si, si près du Chef !

Que pourrait-elle désirer de plus ?, palpiter si près du Gouvernement sans en avoir aucunement les affres ! Avoir le bonheur, la chance incroyable, que dans Son infini Bonté Dieu lui donna, d’être la servante d’un Prince (Léon XIII), d’un Empereur (Mgr Gaume), d’un Roy (Mgr d’Orléans), d’un Maître (Saint Paul), etc., d’un Époux qui l’aime même plus que sa propre personne, c’est là toute sa dignité, sa gloire et son bonheur, son honneur et sa sauvegarde…

Et Pie XI de rappeler au passage que ce qui empêche la femme d’être la très heureuse et paisible servante de son Époux, c’est ‘ils’, ‘ceux’ qui flattant son orgueil, prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme.
Pie xi condamne : ceux qui veulent que l’épouse s’émancipe.

Ils décident que cette émancipation doit être triple, qu’elle doit se réaliser dans le gouvernement de la vie domestique, dans l’administration des ressources familiales, dans la faculté d’empêcher ou de détruire la vie de l’enfant, et ils l’appellent sociale, économique, physiologique : physiologique, car ils veulent que les femmes soient à leur gré affranchies des charges conjugales et maternelles de l’épouse (ce qui n’est pas émancipation, mais crime détestable, Nous l’avons suffisamment montré) ; économique ils entendent par là que la femme, même à l’insu de son mari, et contre sa volonté, puisse librement avoir ses affaires, les gérer, les administrer, sans se soucier autrement de ses enfants, de son mari et de toute sa famille ; sociale enfin : et par là ils enlèvent à la femme les soins domestiques, ceux des enfants et ceux de la famille, pour que, ceux là négligés, elle puisse se livrer à son génie naturel, se consacrer aux affaires et occuper des charges, même les charges publiques.

«Casti Connubii - 1930 - Pie XI», réf. page 336.

Y a-t-il besoin de commentaires ? Tout ceci a déjà été largement développé tout au long de cette étude…
Une soumission pleine de crainte et de respect, amoureuse.

*

Saint Paul n’indique-t-il pas pour la femme deux devoirs tout spéciaux envers le mari ?

*

Oui, la crainte et l’obéissance. «Que l’épouse craigne son mari.» (Eph., v. 32.) «Que les femmes soient soumises à leur mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme.» (Eph., v, 22, 24.)

*

Quelles doivent être la crainte et l’obéissance de l’épouse ?

*

Non point une crainte pleine de terreur, mais pleine de respect ; non point une obéissance servile, mais une obéissance amoureuse, car la femme n’est pas l’esclave, mais l’aide et la compagne : Adjutorium simile sibi.

Chapitre VI ~ Devoirs mutuelles des époux. - «Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot», réf. page 336.

Y a-t-il besoin de beaucoup de commentaire sur ceci ?
Nous insistons : l’épouse est la digne servante de son Époux !

Confirmation de la sujétion, de la servitude de l’épouse :

Toutes ces citations ne sont pas de Saints, mais toutes sont saines parce que conforme à La Loi naturelle, à la Volonté divine :

Saint Astère (350-410) : Elle [l’ épouse] se montre sa servante assidue et dévouée.

Pierre de Roubaix (1415-1493) : Et tout en s’occupant, il aura toujours son regard et son cœur à vous et à votre amoureux service. Il abandonnera toute autres maisons, toutes autres femmes, tous autres services et intérieurs61.

Shakespeare (1564-1616) : J’ai honte de voir des femmes assez simples pour offrir la guerre là où elles devraient demander la paix à genoux, et pour prétendre au pouvoir, à la suprématie et au gouvernement, là où elles sont tenues de servir, d’aimer et d’obéir62.

Pie xi (1930) : Nombre d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler d’une indigne servitude d’un des deux époux à l’autre…

Pie xi (1930) : estimant ces droits violés par la «servitude» qu’on vient de dire…

Pie xii (1941) : Nombre de voix autour de vous vous la représenteront, cette sujétion [à votre Époux], comme quelque chose d’injuste.
Obéir !, même dans ce qui lui semble déraisonnable ou impossible.

Ceci a été plus que développé63…
La femme, comme insoumise, ce qu’elle encoure…

St Alphonse de Liguori : quant à la femme, elle pèche…

Si elle désobéit, elle pêche mortellement.

1° si elle n’obéit pas à son mari lorsqu’il ne lui donne que des ordres légitimes ; et spécialement à l’égard des devoirs du mariage, que les femmes sachent bien que toutes les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un péché mortel ;

XXIX - Voir référence sur la dernière partie de la citation

Par soucis de ne pas trop se répéter, pour ce qui touche aux ordres légitimes, voir le commentaire un peu plus loin (7.F.3)…

Comme titre nous aurions pu mettre : Si elle désobéit, donc forcément à son Époux, elle pêche mortellement. En effet, ne devant obéissance qu’à son Époux, sa désobéissance ne peut être qu’envers son Époux !

L’auteur, St Alphonse de Liguori, fait certainement une distinction entre désobéissance et négligence.

Une ‘petite’ désobéissance, un péché mortel ?

Supposons, par ex. que : l’Époux commande à son épouse de moins saler les aliments ; et ayant négligé son Époux, elle a trop salé, ici, nous pouvons dire que c’est une ‘imperfection’. Mais objectivement, effectivement, c’est une négligence bien coupable. Bref, soyons même très ‘libéral’, large : une fois…, deux fois…, et si après cela les aliments sont toujours trop salés ?

L’épouse dans son début de révolte, lui rétorque : mais, j’ai l’habitude ; ou : mais, je préfère salé ainsi, etc. Nous faisons tout de même remarquer qu’elle s’excuse64, fuit ses responsabilités : mais… ; alors qu’elle devrait s’accuser : Oui, mon Époux je vous ai négligé, je vous prie de me pardonner, veuillez être patient avec moi, je me corrigerais…

Qu’elle ait cette mauvaise habitude est justement ce que son Époux le lui reproche, mais passons… ; son Époux trop patient lui commande formellement de saler avec une réelle modération, voire même de ne plus saler. L’épouse ‘innocemment’ passe à l’étape suivante : elle persiste à ‘oublier’ l’ordre…

Devant le reproche que son Époux lui fait d’avoir outrepassé son interdit formel, d’avoir encore ‘oublié’ de ne pas saler :

1.

elle ne s’accuse pas en se précipitant aux pieds de son Époux afin d’obtenir Son pardon ;
2.

mais de plus c’est elle qui accuse son Époux d’avoir fait cette remarque devant les enfants. Chose, cette dernière, qu’elle utilisera malicieusement devant le ‘juge’ en retournant la chose : Il me faisait des reproches devant les enfants !

Mais dites, petite, qui a résisté, désobéi à son Époux devant les enfants, et qui ainsi les a scandalisé ? Qui a acculé son Époux à lui faire cette remarque devant les enfants en désobéissant devant les enfants et en les prenant comme témoins de la ‘tyrannie’ de son Époux ?

Là alors : c’est bien une faute grave, un péché mortel, même pour une ‘petite’ chose, doublée d’un autre péché mortel : les enfants scandalisés et qui de plus sont pris à témoin contre leur Père !

Pourquoi désobéir à l’Époux est un péché mortel pour l’épouse ?

Parce que l’épouse doit obéir comme à Dieu à son Époux qui est Son représentant auprès d’elle ; et dont elle est la servante car c’est précisément pour cela qu’elle fut donnée à son Époux par Dieu même ; et non l’inverse ; et non ‘l’un pour l’autre’, mais ‘une pour l’autre’ ! Dans notre exemple elle a de volonté certaine, même en une relative petite chose, désobéi à son Époux, et donc à Dieu !

Ce fait précis fut conté à l’un de nous65… Un prêtre de la secte FSSPX en fut un acteur principal, il osa, ce pervers, ce cloaque d’impureté :

*

‘relever’ l’épouse de son devoir d’obéissance envers son Époux ; chose impossible car en effet cette autorité n’est amissible, ni même abdicable, et que de plus l’Autorité de l’Époux est beaucoup plus large que celle du législateur66.
*

la convaincre qu’elle avait à faire à un tyran,
*

la pousser à demander la séparation de corps devant le ‘juge’ civil,
*

après lui avoir lui avoir obtenu de la ‘rote’ plus qu’illégale de cette secte, la FSSPX, l’autorisation de poursuivre cette criminelle action au civil…

Les conséquences incalculables d’une ‘petite’ faute !

Comme la ‘toute petite’ faute de la femme, avoir pris la pomme interdite, eut des conséquences absolument incalculables !, il suffit de regarder autour de soi la désolation de cette terre ; idem, une ‘petite’ faute de l’épouse entraine une désolante désolation…

Nous ne pouvons nous disperser, aussi nous ne faisons que signaler un très bon livre à (re)lire Le bénédicité au XIXème siècle ou la Religion dans la Famille de Mgr Jean-Joseph Gaume, où celui-ci parle du caractère sacré : du sel et de la salière ; de donner ou recevoir le sel ; de le disperser ou verser, ou même renverser le sel ; les bénédictions ou maléfices (il ne s’agit nullement de superstitions) passant par le sel... Ainsi, nous avons ici, au moins trois affaires ayant une certaine articulation autour du sel, de la salière...

Reprenons notre affaire de salière, résultat des courses, voici les péchés mortels d’une ‘simple’ ‘petite’ désobéissance :

1.

l’‘oublis’ persistant de ne pas saler ;
2.

le scandale de l’épouse et non de l’Époux devant les enfants : Mais si quelqu’un scandalise un de ces petits qui croient en Moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendit à son cou une de ces meules qu’un âne tourne, et qu’on le plongeât au fond de la mer. (Mathieu, 18,6)
3.

les frondes ultérieures parmi les enfants (autant de frondes autant de péchés mortel) ;
4.

la fornication avec un loup déguisé en brebis67 : si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée
5.

l’adultère dans un confessionnal ! crime particulièrement aggravant (Cf St curé d’Ars)
6.

viol de l’autorité de l’Époux, crime particulièrement grave ;
7.

destruction d’un foyer… avec tous les péchés mortels de tous les différents acteurs cléricaux et judiciaires, ‘témoins’, etc. ;
8.

toutes les conséquences : enfants orphelins éplorés et perturbés dans leur éducation, ruine matériel, scandales publiques, mauvais exemples auprès d’autres épouses, etc…

Oui, que les femmes sachent bien que toutes les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un péché mortel, ayant lui-même des conséquences incalculables et toutes plus monstrueuses les une que les autres ! Que ces prêtres sachent bien qu’ils ne resterons pas impunis : Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. (ND de La Salette)

De plus, vous souvenez-vous de l’obéissance que demande l’Église ?…

Vous souvenez-vous comment les Hommes de cette Église envisagent l’obéissance de ses membres subalternes : Le religieux doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables. […] difficiles ou même impossibles68 !

Et ces mêmes prêtres ‘affranchissent’ nos épouses de l’obéissance infrangible qu’elles doivent à leurs Époux !

Et ce alors que l’Autorité de l’Époux sur Son épouse est considérablement plus grande, plus totale que l’autorité du supérieur sur son inférieur(e)69.
Si elle dépense sans permission, elle pêche gravement.

2° si, sans le consentement de son mari, elle dépense sur les revenus communs une somme plus forte que les femmes de son rang ont coutume de dépenser, parce que c’est le mari qui est maître des biens communs, et non pas la femme ; elle pourrait seulement dépenser quelque chose pour les besoins de la famille, lorsque le mari néglige d’y pourvoir ;

Ceci a été largement étudié précédemment…
Si elle ne suit pas son Époux, elle pêche gravement.

3° si elle refuse sans motif de suivre son mari dans l’endroit où il veut se choisir une habitation, parce que la femme est obligée d’habiter avec son mari ;

Toujours la même criminelle imprécision…

Un peu plus haut (7.F.1), nous avions dit que nous reparlerions des ordres légitimes : si elle n’obéit pas à son mari lorsqu’il ne lui donne que des ordres légitimes.

Toujours la même bombe à retardement : Ordres légitimes, ou sans motifs… !

Forcément, elle n’a aucun motif de désobéissance….

Contrairement à ce que dit St Alphonse de Liguori70, qui ici se trompe lourdement :

*

l’Époux a forcément que des ordres légitimes, car seul l’Époux a la légitimité exclusive pour commander l’épouse, étant son Époux !
*

l’épouse est forcément sans motif pour ‘pouvoir’ ne pas suivre son Époux : elle a tout quitté pour Lui ; pour Lui appartenir, et vis versa du reste.

Et…, pour ces deux points, ordres légitimes, ou sans motifs, elle doit Lui obéir en toutes choses71, jusque dans les choses qui lui semble les plus déraisonnables et les plus impossibles72, et même le suivre en prison73 !

Cela devient bien lassant…, nous avons une réfutation qui est facilement transposable au point 4.F.1.e On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’Église., page 130 et contexte.

De plus, supposons…, alors en cas de ‘scrupule’ de l’épouse et du maintient de l’ordre de l’Époux, qui va trancher entre les motifs valides et invalides ?, ou l’ordre légitime ou illégitime ? Une tierce personne ?, non car alors elle n’aura pas interrogé son Époux à la Maison74 sur quelque point que ce soit et ce dans une entière soumission, et donc il y a adultère, fornication !

‘Ils’ aiment l’absurde ?, continuons dans l’absurde, bien que ceci soit un affront à la raison et à la Vérité contenue dans le Loi naturelle : devant ‘départager’ les époux, supposons que ceux-ci fassent appel à l’extérieur (et qui s.v.p. ?) et que :

*

l’Époux trouve un soutien disant que son épouse doit le suivre ou que son ordre est bien légitime ; et
*

l’épouse trouve un soutien pour ne pas suivre son Époux, et déclarer l’ordre illégitime.

Que fait-on ? Situation burlesque !, à qui fait-on appel ensuite ?

Histoire de fous ! Oui, véritablement une bombe à retardement, car à sa première démangeaison75, l’épouse ne manquera pas de dire que St Alphonse de Liguori a dit que :

*

je pouvais ne pas suivre mon Époux pour un motif valable !, or mon motif, peu importe lequel, est valable, donc je peux ne pas le suivre ; soit me séparer de Lui pour ce motif.
*

je ne devais pas obéir à un ordre illégitime, or cet ordre en ‘conscience’ est illégitime, donc je dois ne pas Lui obéir ; soit me séparer de Lui pour ce motif.

Nous avions dit : sans aucune langue de bois !

St Alphonse de Liguori aurait pu dire, ce qui aurait été plus court et identique, et là au moins pas d’ambiguïté, pas de doute :

*

l’épouse ne fera jamais de péché mortel en ne suivant pas son Époux, car forcément elle a un motif !
*

l’épouse ne fera jamais de péché mortel en n’obéissant pas à son Époux, car forcément pour elle cet ordre est illégitime !

Triste à pleurer !, et l’on s’étonne du nombre toujours croissant de séparation-divorce ?

Irresponsabilité ! Irresponsabilité totale mais logique, car en effet, l’on ne peut que se tromper si l’on essaye de définir ce qui ne revient qu’au Chef de définir à l’intérieur de la Loi cadre76, la Loi naturelle, comme toute notre étude le montre bien.

Là, évidemment, St Alphonse de Liguori a raté une sérieuse occasion de se taire !
Si elle affronte, encolère son Époux, elle pêche gravement.

4° lorsque, par ses réponses impertinentes, elle est cause que son mari profère des blasphèmes.

Si l’épouse fait blasphémer l’Époux, elle commet un péché mortel, mais aussi si elle l’expose à blasphémer, si elle le ‘fatigue’ et qu’Il en vient ainsi à perdre patience idem, etc.
Si l’épouse la fermait, elle ne serait pas battue !

Certaines femmes se plaignent de ce que leurs maris les battent continuellement ; mais elles-mêmes, lorsqu’elles les voient en colère, les excitent au lieu de garder le silence ! Il y avait un chêne et un roseau ; il survint un grand vent ; le chêne voulut résister et il fut déraciné et brisé, le roseau au contraire plia sous les coups du vent, le laissa passer, et évita de cette manière d’être brisé par sa fureur. Comprenez-vous ce que cela signifie ? Gardez le silence lorsque votre mari est courroucé, laissez passer le vent de sa colère, et bientôt il vous laissera tranquille et ne vous battra plus.

Oui, si l’épouse la fermait, sa bouche, au lieux de toujours tenir tête, de se révolter, point de coups alors ; d’où il suit que les coups qu’elle reçoit ne viennent que de sa faute, de ses insolences.

Pourquoi tenir tête, devant de toutes les façons plier devant son Chef, son Maître ?

Ne trouvez-vous pas que le fable sidérante de la femme battue est pulvérisée ?
Veut-elle découvrir l’eau miraculeusement contre-coups !

C’est ce qui arriva exactement à une femme qui se plaignait toujours d’être battue par son mari ; un homme de bien lui dit : « Je veux vous donner une eau que vous tiendrez dans la bouche, lorsque votre mari sera irrité et vous ne serez plus maltraitée. » Il lui donna l’eau, la femme suivit son conseil et son mari ne la battit plus. Elle pria ensuite l’homme de bien de lui enseigner où il puisait cette eau. « Je la prends, répondit-il, dans tous les puits ; ce qui revient à dire, ne répondez point lorsque votre mari est en colère et vous ne serez plus alors maltraitée. »

Une verre d’eau ‘miraculeuse’ dans la bouche, et plus de coups ! Plus de femmes battues, plus de Maris ‘violent’ !

Mettez en parallèle ces deux textes :

*

Conseil d’un saint Homme : Un verre d’eau ‘miraculeuse’ dans la bouche, et plus de coups !
*

Conseil d’une garce : De plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles savent que nous les soutenons77 !

St Augustin : si l’épouse est battue, cela ne vient que d’elle !

XXX. Saint Augustin rapporte (l. 9, conf. cap. 9) de sainte Monique, sa mère, que, bien qu’elle eût un mari très fâcheux, elle vivait cependant en paix avec lui, de sorte que ses voisines, qui étaient souvent en discorde avec leur mari, lui demandèrent un jour de quel moyen elle se servait : pour vivre en si grande paix avec son mari. La sainte leur répondit : « Mes sœurs, les désagréments que vous éprouvez de la part de vos maris ne viennent pas tant de leurs imperfections que de la vôtre ; vous répondez, vous répliquez, et par là vous exaspérez leurs esprits ; mais quand je vois mon époux en colère, je ne réponds pas, je supporte ses aigreurs, et je prie Dieu pour lui, et par là je vis en paix : faites-en autant, et vous aussi vous vivrez en paix… »

§ III. Des devoirs des maîtres, des domestiques et des personnes mariées. - XXIX..«Instruction au peuple - 1787 - Saint Alphonse de Liguori», réf. Page 334.

Ceci est à rapprocher de ce que nous avons vu plus haut : La décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques : l’une est paisible, l’autre est difficile. Un seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme, l’épouse, la mère78.
Notre Seigneur Jésus-Christ dit-Il autre chose ?

Nous avons gardé la meilleur pour la fin, afin de donner le coup de grâce à la fable de la femme battue.

Ce texte qui va suivre n’est nullement de Foi, toutefois il serait sûrement téméraire de l’exclure. En effet, il n’est pas du tout en opposition avec les autres citations, bien au contraire, qui elles disent bien l’entière responsabilité de la femme dans la mésentente conjugale, soit directement ou indirectement : les fameux 80/2079.

Lisons Anne Catherine Emmerich : A cette occasion, Jésus parla aussi d’une manière simple mais profonde sur le mystère du mariage. Les paroles suivantes du Seigneur me parurent remarquablement claires et convaincantes : « Si les époux ne vivent pas en bonne intelligence, si le mariage n’atteint pas son but, qui est de procréer des enfants bons et purs, la faute en est presque toujours à la femme. Son devoir est de tout supporter et de souffrir ; elle est le vase qui reçoit, qui conserve et qui forme ; elle peut, en purifiant son âme, réparer beaucoup en elle et dans son fruit. Elle façonne cet être qui est en elle ; il est en son pouvoir, en régénérant son âme et son corps, d’effacer tout ce qui est mauvais dans l’enfant, à qui tout ce qu’elle fait nuit ou profite. […] L’homme et la femme sont une seule chair : mais la femme a pour mission d’expier et d’effacer le péché originel en se purifiant dans la souffrance et la prière. »

Jésus parla longtemps encore sur le mariage, et je fus tellement frappée de la vérité de ses enseignements, et du besoin qu’auraient les hommes de les connaître, que je me dis en moi-même : « Pourquoi ces paroles ne sont-elles pas écrites, et pourquoi n’y a-t-il pas de disciples pour les recueillir et les faire connaître à tous ? »…

Extraits des visons d’Anne Catherine Emmerich, tome II, page 549.

Pour nous, il n’y a rien à ajouter…
Allez, une petite dernière pour la route…

L’apôtre établit la prééminence de l’homme sur la femme ; il a été formé le premier. La femme est sortie de lui : il est son chef dans l’ordre de la création.

Mais, si la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel, elle lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir.

D’avoir été l’introductrice du péché, cela lui impose une retenue particulière. Elle n’a aucun droit d’enseigner ; elle ne doit pas sortir de la condition d’humble disciple ; qu’elle se tienne dans le silence. (Les féministes feront bien de méditer ces enseignements).

Ces considérations font ressortir le précepte de la modestie qui lui est enjointe. Il ne sied pas à une inférieure de prendre le sceptre, à une pécheresse de s’afficher superbement. Il convient que la femme s’habille décemment ; mais aussi elle doit éviter tout ce qui attire le regard et provoquerait la convoitise, artifices de coiffure, or et perles, vêtements de prix. Son ornement, ce sont les bonnes œuvres, c’est la vraie piété, c’est aussi le soin des enfants, c’est la foi, la charité, la sainteté, avec une grande retenue.

En s’effaçant ainsi le plus possible, la femme se réhabilitera pleinement, elle deviendra pour l’homme un appui, une force, un instrument de salut. Humiliée par le souvenir d’Ève, et acceptant son humiliation, elle se revêtira peu à peu de Marie, et deviendra la femme chrétienne, miracle de la grâce, exemplaire de toutes les vertus.

La modestie chrétienne de la femme, Le Sel de la Terre n° 48-51, 2004-2005.

Cette citation vient d’une étude nommée La modestie chrétienne de la femme, qui reprend Dom Bernard Maréchaux OSB qui fut un ami écouté de saint Pie X.

Où, nous devons plus particulièrement parler des prêtres de la Trahition.

À la sectaire FSSPX (et à ses multiples consœurs), ce texte ne peut lui paraître suspect, car la revue Sel de la Terre vous est copieusement inféodée.

Cette citation, comme toute notre présente étude, servira au moins à votre Jugement dernier, comme pièce contre vous. Fraternité (comme fraternité franc-maçonne ?!) de fornicateurs, de cloaques d’impureté comme disait la Très-Sainte Vierge Marie à La Salette : les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.

Voici que quelques accusations, car nous en connaissons tellement d’autres et ce depuis bien plus de 30 ans, et toutes plus sidérantes les unes que les autres, parmi celles qui alors vous seront faites :

*

Multiples Mariages que vous avez détruits avec vos fornicateurs tapis dans vos confessionnaux et ensoutanés de peaux de brebis, loups rapaces !
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Votre ‘Rote’ plus qu’illégale : illégalité de constitution, illégalité de juridiction, illégalité procédurale, illégalité de conclusion, etc.
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Multiples enfants que vous avez ‘émancipés’, affranchis de l’obéissance qu’ils doivent à leur Père et que vous avez même retournés contre Lui avec l’aide du MJCF et cie entre autres ;
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Multiples enfants que vous avez détournés, embarqués, embrigadés dans des choses toutes plus douteuses les unes que les autres80.
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Garçons que vous avez émasculés en leurs apprenant à être ‘tolérants’ dans le Mariage comme en tout ; et en leurs cachant leur future Puissance sur leur femme et Maison afin de préparer votre mainmise sur ces futurs Mariages, de braves petits moutons bêlants au son de vos pipeaux maléfiques… ! Etc…
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Menace de procès au civil, alors que des personnes portaient plainte contre vos inférieurs, et ce comme de Droit auprès de ses quatre Évêques !
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Menaces contre certains de vos prêtres subalternes ayant essayés de déclarer de très graves choses, touchant particulièrement le Mariage, afin qu’ils cessent de remuer les immondices des écuries de la FSSPX, des cloaques d’impureté…
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Et bien d’autres choses collectées ici depuis bien plus de trente ans.

Si nous devions avoir fauté…

Conscients et vraiment navrés de devoir faire ces très graves accusations que nous portons en ce dernier point comme dans l’ensemble de ce document du reste, nous sommes totalement prêts à une confrontation publique et contradictoire qui devra alors durer le temps nécessaire, à laquelle seraient présents les prêtres que nous citerons, et qui se passerait en un point facilement accessible par quiconque !

Si nous devions nous être trompé, par déformation, exagération ou minimisation, omission ou mutilation, si nous devions avoir commis quelle que erreur que ce soit, nous nous engageons formellement par ce même canal à rectifier et à demander pardon !

1 (Re)Voyez : 1.D.1.b Ce n’est qu’une métaphore :, page 13 ; 4.B.2 Est-il bien nécessaire de re-dire…, page 100 ; 5.C Restaurer L’Homme en général, sa Puissance…, page 168.

2 Eph., v, 22, 24.

3 (Re)Voyez : 2.B.1 Avertissement. page 28.

4 Jouer du pipeau :

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Au fig., fam., vieilli. Artifice servant à tromper quelqu’un. Se laisser prendre aux pipeaux de qqn. J’ai évité ses pipeaux (Ac. 1835-1935). Le président Wilson ou les pipeaux neufs: Mil neuf cent dix-sept: la guerre militaire se traîne. La stratégie se réduit à des bousculades formidables (J.-R. Bloch, Dest. du S., 1931, p.80).

(Re)Voyez : Le Joueur de flûte de Hamelin :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Joueur_de_fl%C3%BBte_de_Hamelin

5 (Re)Voyez : 2.D.2.f Comment donc peut-Il, Lucifer, détruire votre foyer ?, page 34, où nous disions : Car votre épouse n’a pas du tout, de Disposition divine, de discernement : de politique, de gestion, d’orientation, de choix, etc. Mais uniquement un discernement applicable au fait de savoir si ce qu’elle fait correspond exactement à l’ordre reçu, implicite ou explicite, auquel elle doit une obéissance totale, ‘en toutes choses’, à ‘ce que son Époux lui a marqué’ implicitement ou explicitement !

6 Prov., XIV, I.

7 (Re)Voyez : 2.D.2.b Les commandements de Dieu ont été donnés à qui ?, page 31, et 3.B.6 Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante…, page 53.

8 (Re)Voyez : 3.D.4.e Et c’est la femme qui se plaint du mal entré en ce monde !, page 80.

9 (Re)Voyez : 6.E.2.c L’origine du drame, la trahison de l’épouse., page 253.

10 Première épître de saint Paul aux Corinthiens ~ Chapitre 14, 34-35.

11 (Re)Voyez : 5.C.3.b La femme peut soigner, que comme épouse… 179.

12 Comme Marine Le Pen qui veut être présidentE ! Nous voyons aussi des ‘Hommes’ raides dans leur ‘garde-à-vous’ devant une femelle s’appelant Michèle Alliot-Marie, et jouant à madame le ministre de l’Intérieur ! Triste à pleurer, pauvre troupeau d’efféminés, accepter cela !…

13 (Re)Voyez : 3.D.4 Adam qui a tout pouvoir sur sa femme, la re-nomme Ève., page 77.

14 (Re)Voyez : 5.C.3 L’Homme soigne, comme Époux, Père, Prêtre, Médecin…, page 179.

15 (Re)Voyez : 3.B.6.a Saint Jean Chrysostome dit bien que c’est L’Homme qui enseigne sa femme :, page 53 ; et 3.C.4.a Notre épouse est un jardin fermé, une fontaine scellée., page 62 et suivant ; et 5.C.3.e L’Homme soigne, comme prêtre de l’Église…, page 180.

16 (Re)Voyez : 6.I.1 Je ne crains que les mauvais catholiques !, page 277.

17 (Re)Voyez : 6.D.9 Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église : user aussi de coups !, page 239.

18 Nous en reparlerons plus loin, (Re)Voyez : 9.E La femme, en ‘danger’, ce qu’elle doit considérer…, page 350, et notamment à travers les Saintes Clothilde, Monique, Rita ; et aussi à travers Anna-Maria Taïgui ; etc.

19 (Re)Voyez : 2.H.1 Mgr Gaume : les Lois de l’Église, sont immuables., page 41 ; 4.I.2 Peut-on se marier pour une seule de ces fins du Mariage ?, page 143 ; 5.C.2.e Cette virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les incubes., page 172 ; 6.E.1 Femme en islam, sujet développé par l’hebdomadaire Rivarol., page 248 et 6.E.2 Certes, elle doit plier, mais maintenant que faire ?, page 252 ; 8.C.1.e Ce que nous retiendrons ici de Mgr d’Orléans., page 332 ; et connexes.

20 ND de La Salette : L’Église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.

21 (Re)Voyez : 3.B.6 Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante…, page 53.

22 (Re)Voyez : utilisé en de très nombreux points de ce document, et 10.H.9 La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette., page 377.

23 Notre-Seigneur Jésus-Christ - Évangile selon Saint Mathieu, chapitre 7, verset 15-16.

24 Nous avons plusieurs personnes qui peuvent témoigner en en ayant été directement victime. Plus particulièrement des sectes FSSPX et consœurs ; nous en viendrons à parler de la ‘Rote’ de ‘suppléance’ de ces sectes.

25 Cette femme parle d’un ‘égoïsme’ qui serait une qualité et non péché grave, qui permettrait à l’Homme de se dépenser pour son foyer, et donc pour Lui-même, la femme ayant été créé (engendrée) pour Lui (Saint Paul, et (Re)Voyez : 5.D.1 La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants., page 194.)

Elle parle de l’égoïsme comme Dom de Mauléon par de la colère :

Considérée en soi, la colère cependant n’est pas chose mauvaise : c’est une passion de l’âme, au même titre que la crainte ou l’amour. Elle a été donnée à l’homme pour surmonter les obstacles qui l’empêchent d’atteindre sa véritable fin, pour lutter contre les tentations et les mauvais penchants, pour réprimer le désordre, pour venger les injures faites à Dieu. Lorsqu’elle agit en ce sens, lorsqu’elle tend à satisfaire la justice et à rétablir l’ordre violé, lorsqu’elle s’exerce sur de vrais coupables et sans sortir des bornes marquées par la raison, elle est légitime, elle peut même se traduire en actes de vertu. Aussi voyons-nous le Saint-Esprit, par la bouche du Psalmiste, faire aux hommes une obligation de se mettre en colère contre leurs défauts : Irascimini, leur dit-il, et nolite peccare [Ps. IV, 5]. De même, ceux qui détiennent le pouvoir ou qui ont à exercer quelque autorité doivent s’irriter contre les négligences et les manquements de leurs sujets. L’Écriture leur donne en exemple les colères de Moïse contre les désobéissances d’Israël, celle de Notre-Seigneur quand il chassa les vendeurs du temple, celles de Dieu contre les égarements et les débordements de son peuple. Mais ce sont là des colères de colombe [Jer. XXV, 38], des irritations dans lesquelles il n’y a pas l’ombre de fiel ou d’amertume, des colères inspirées par une vraie charité et non par quelque blessure de l’amour-propre, des colères dans lesquelles la passion, « tenant, dit Aristote, le rôle de soldat et non celui de chef », demeure constamment soumise à l’empire de la raison.

Contenir sa colère, «Les instrument de la perfection – 1936 - Dom Jean de Mauléon», réf. page 336.

26 (Re)Voyez : 6.E.2.d Où l’art de s’enferre ! où le serpent se mord la queue… , page 255.

27 (I Cor., XI, 7-9), (Re)Voyez : 5.C.5 L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque…, page 190.

28 Onanisme, échangisme et toutes ses variantes, zoophilie, etc.

29 (Re)Voyez : 4.C.2.c Voyons Abraham qui fait chercher une femme pour son fils Isaac., page 105.

30 (Re)Voyez : Gina Lombroso à 7.C.3.b La dépendance infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui !, page 292, et aussi 6.E.2.d Où l’art de s’enferre ! où le serpent se mord la queue… , page 255, et divers autres…

31 (Re)Voyez : 7.C.6 Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie xii à la femme., page 298.

32 (Re)Voyez : comme la Très-Sainte Vierge Marie : 3.E.7.e La TSVM étant totalement incapable de se gouverner, devait être confiée !, page 93.

33 (Re)Voyez : 10.H.9 La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette., page 377.

34 (Re)Voyez : 12.C Les mauvais prêtres, l’accablante majorité…, page 410.

35 (Re)Voyez : 4.C.3.f L’Homme est l’officiant, forcément unique, du Sacrement de Mariage., page 115 ; 5.D.7 Le Chef n’est pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente., page 201 ; et 6.E.2.f Il est une chose dont A. S. est bien condamnable…, page 258…

36 (Re)Voyez : 5.D.9. L’autorité du père est la plus complète : sacerdoce et empire., page 204.

37 (Re)Voyez : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/07/sortir-de-systme-selon-belette.html

38 (Re)Voyez : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/08/proverbes-citations-sentences-et-bons.html. ; et aussi plus loin : 7.F.8 Notre Seigneur Jésus-Christ dit-Il autre chose ?, page 322 et 7.F.9 Allez, une petite dernière pour la route…, page 323.

39 Gen. iii, v.

40 (Re)Voyez : 6.D.5 Saint Bernard : Adam n’a pas discipliné Ève, il ne l’aimait pas !, page 236.

41 (Re)Voyez : 5.C.2 L’Homme seul porte la bourse, donc seul Il la remplie et la vide…, page 168.

42 Saint Paul, déjà largement référencé.

43 (Re)Voyez : 6.E.1.a Voici maintenant une analyse complète de ce texte., page 248.

44 (Re)Voyez : 3.E.7.c La TSVM était, comme toute femme, totalement incapable de se gouverner !, page 91 ; 3.E.7.e La TSVM étant totalement incapable de se gouverner, devait être confiée !, page 93 ; 6.E.2.d Où l’art de s’enferre ! où le serpent se mord la queue… , page 255.

45 Salique :

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En partic. Titre LIX de abodis de la Loi Salique, excluant les femmes de la succession à la terra salica [terre salique, v. infra] et invoqué par les juristes du xive s. pour régler la succession au trône de France en en excluant non seulement les filles mais les parents par les femmes.

46 Ici, nous profitons de ce clin d’œil fait à Jol du site Les Intransigeants pour le remercier de son encouragement (L’école des femmes) :

Vous avez ici des personnes qui roulent totalement à contre-sens du modèle idéologique médiatico-politique qui imprègne la société toute entière. C’est intéressant, non ? Pourquoi critiquer à tout va ? Vous avez vu l’énorme quantité de texte qu’a rédigé QJSIOJC sur son blog ? C’est qu’il pose quand même des questions judicieuses, non ?

47 (Re)Voyez : 4.C.2.d Les Fiançailles, ce qu’elles sont., page 107, et 5.C.2.e Cette virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les incubes., page 172.

48 (Re)Voyez : 6.B Rappel de la ‘Toute Puissance’ du Chef de Famille., page 210.

49 Le Saint Curé d’Ars et la famille, fin du chapitre II.

50 (Re)Voyez : 5.D.1 La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants., page 194.

51 (Re)Voyez : 13 L’enfant, page 413.

52 (Re)Voyez : un bon complément de ce que nous disons, ici :

http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/09/royalement-insense-marie-sgolne-la.html.

53 (Re)Voyez : 6.E.2.d Où l’art de s’enferre ! où le serpent se mord la queue… , page 255.

54 (Re)Voyez : 5.C.2.a Madame ne peut demander à son Homme d’être Puissant que selon sa volonté propre., page 169 ; et 6.E.1.a Voici maintenant une analyse complète de ce texte., page 248 ; et 7.C.3.b La dépendance infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui !, page 292 ; etc.

55 (Re)Voyez : 2.D.2.f Comment donc peut-Il, Lucifer, détruire votre foyer ?, page 34.

56 (Re)Voyez : note 243, page 283.

57 (Re)Voyez : 7.C.6 Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie xii à la femme., page 298.

58 9.E La femme, en ‘danger’, ce qu’elle doit considérer…, page 350.

59 (Re)Voyez : 7.F.1 Si elle désobéit, elle pêche mortellement., page 314.

60 (Re)Voyez : 3.C L’Homme, engendre la femme, Il est son maître., page 55.

61 Léon Leroy de La Brière, La Jeune mariée, conseils donnés en 1393 par Pierre de Roubaix.

62 Extrait de La mégère apprivoisée, (Re)Voyez toute la tirage : La mégère apprivoisée, une épouse mise au pas !

63 (Re)Voyez : 6.D.2 À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !, page 230.

64 S’excuser ! On dit souvent, ayant bousculé quelqu’un malencontreusement par ex. : je m’excuse ! Ceci est totalement impropre, nous devons dire : je vous prie de m’excuser ! Et il revient à la personne bousculée de vous excuser… Le proverbe ne dit-il pas : Qui s’excuse s’accuse ? Du reste les enfants disent souvent cela pour se dédouaner d’une responsabilité, comme l’épouse de notre exemple. Ne disons pas : je m’excuse, expression qui de fait est une insolence car l’on ne laisse pas à la personne lésée de le faire, c’est même carrément une grossièreté ! Disons-lui : je vous prie de m’excuser de…, ou veuillez bien m’excuser… ; ou alors, ayons le courage et l’honnêteté de nous accuser, de demander humblement pardon.

65 Toujours autour d’une salière, nous en avons un autre encore plus tragique, car l’Époux en est venu aux mains, légitiment ! Malheureusement ceci ne sauva pas le foyer, et ce ‘grâce’ à un autre prêtre de cette même mouvance, car… (Re)Voyez : 6.E.2 Certes, elle doit plier, mais maintenant que faire ?, page 252.

66 (Re)Voyez : 5.D.10 L’autorité du Père plus large que celle du Législateur., page 205 et divers…

67 Afin d’alléger le document, nous allons de plus en plus ne plus donner les sources qui ont déjà été largement données. Le cas échéant, il vous suffit de faire une recherche sur le membre de phrase voulu.

68 (Re)Voyez : 6.D.2 À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !, page 230.

69 (Re)Voyez : 6.D.2.a Qu’elle différence existe-t-il entre l’Autorité du Supérieur et Celle de l’Époux ?, page 231.

70 (Re)Voyez : 6.B.4.a Est-il bien, comme nous venons de le faire, de critiquer voire même dénoncer les écrits d’un Saint ?, page 220.

71 Saint Paul, Saint Pierre, Concile de Trente.

72 (Re)Voyez : 6.D.2 À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !, page 230.

73 (Re)Voyez : 7.E.2 Servante de son Époux !, Saint Astère, dit-il autre chose ?., page 308.

74 (Re)Voyez : 7.C.3 Saint Paul : dit la révolte, la transgression de la Femme !, page 286.

75 (Re)Voyez : 6.B Rappel de la ‘Toute Puissance’ du Chef de Famille., page 210.

76 (Re)Voyez : 6.C.2 L’Époux doit sanctifier son l’épouse., page 223.

77 (Re)Voyez : 3.C.10.d Lisons comment ce damné de Lucifer s’y prend :, page 72.

78 (Re)Voyez : 5.D.1.a Voyons donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de nous :, page 195.

79 (Re)Voyez : 4.K.4.c Il existe bien d’autres exemples., page 161 ; 11.B La loi des 80/20 de Vilfredo Pareto et la femme…, page 385.

80 Bien que cela ne soit pas notre ‘orientation’, lisez : http://www.virgo-maria.org/articles_HTML/2007/011_2007/VM-2007-11-01/V